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          Médecins

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          Selon le code de déontologie élaboré par le Conseil national de l’Ordre des médecins, le médecin veille, en toutes circonstances, à la santé des personnes et de la collectivité. Sa mission est éminemment humanitaire et, pour l’accomplir, il doit être pleinement qualifié et demeurer toujours respectueux de la personne humaine.

          Le libre choix du médecin par le patient est un principe fondamental de la relation médicale. Tout médecin doit respecter cette liberté de choix et veiller à ce qu'elle soit sauvegardée. Il doit soigner avec la même conscience tous ses malades, quels que soient leur situation sociale, leur nationalité, leurs convictions, leur réputation et les sentiments qu'il éprouve à leur égard.

          Quand le patient est un mineur d'âge ou un autre incapable et s'il est impossible ou inopportun de recueillir le consentement de son représentant légal, le médecin prodiguera les soins adéquats que lui dictera sa conscience.

          Nous ne pouvons dresser ici une liste exhaustive de tous les médecins officiant en Belgique et plus particulièrement sur l'arrondissement namurois. Vous trouverez les coordonnées du médecin traitant de l'enfant dans son carnet ONE (s'il a moins de 13 ans). Vous pouvez également  vous tourner vers un autre médecin, guidé par votre pratique.

          Par rapport aux situations de maltraitances, voici ce que l’article 61 du code de déontologie médicale stipule :

          Si un médecin soupçonne qu’un enfant est maltraité, est abusé sexuellement ou subit des effets graves d’une négligence, il doit opter pour une approche pluridisciplinaire de la situation, par exemple en faisant appel à une structure conçue spécifiquement pour gérer cette problématique.

          Lorsqu’un médecin constate qu’un enfant est en danger grave, il doit sans délai prendre les mesures nécessaires pour le protéger.

          Si ce danger est imminent et s’il n’y a pas d’autre moyen pour protéger l’enfant, le médecin peut communiquer ses constatations au procureur du Roi.

          Les parents ou le tuteur de l’enfant seront informés des constatations du médecin et des initiatives que celui-ci compte prendre sauf si cette information peut nuire à l’intérêt de l’enfant.

          Avant de prendre toute initiative, le médecin doit en parler au préalable avec l’enfant dans la mesure où les capacités de discernement de celui-ci le permettent.